Chantemerle-lès-Grignan

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Chantemerle-lès-Grignan
Chantemerle-lès-Grignan
chapelle à Chantemerle-lès-Grignan
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Communauté de communes Enclave des Papes-Pays de Grignan
Maire
Mandat
Jean-Luc Bodin
Élections municipales complémentaires du 17 octobre 2021-2026
Code postal 26230
Code commune 26073
Démographie
Gentilé Chantemerlois, Chantemerloises
Population
municipale
241 hab. (2021 en diminution de 11,07 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 24′ 14″ nord, 4° 50′ 10″ est
Altitude Min. 99 m
Max. 351 m
Superficie 9,82 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Pierrelatte
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grignan
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Chantemerle-lès-Grignan
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Chantemerle-lès-Grignan

Chantemerle-lès-Grignan est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Chantemerle-lès-Grignan est situé à 7 km à l'ouest de Grignan et à 13 km à l'est de Pierrelatte.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Le point culminant de la commune, à 352 mètres, se trouve au sud-est du village, sur le plateau du Rouvergue.

Sites particuliers :

Géologie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

  • la Berre ;
  • le ravin de la Valadière ;
  • le ravin de Saint-Maurice[2] ;
  • le ravin des Blaches ;
  • le ravin du Géras ;
  • le ravin du Gournier ;
  • le ravin du Grès.

On peut y ajouter le Ravin de Crespias[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 848 mm, avec 6,2 jours de précipitations en janvier et 3,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Pierrelatte à 11 km à vol d'oiseau[6], est de 14,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 795,2 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Chantemerle-lès-Grignan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

La commune fait partie de l'aire d'attraction de Pierrelatte dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (54 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54 %), zones agricoles hétérogènes (46 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Quartiers, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Site Géoportail (carte IGN)[1] :

  • Bois des Dames
  • Durand
  • Espérouze
  • Grand-Chabanne
  • la Bruyère
  • la Croze
  • la Gardette
  • la Lauze
  • la Suquée
  • Lêche
  • le Gat
  • le Géras
  • le Grès
  • le Moulin de Saint-Maurice
  • le Plan
  • le Rouvergue
  • les Aunières
  • les Basses Combes
  • les Basses Crevasses
  • les Bréchets
  • les Clapiers
  • les Combes
  • les Cordys
  • les Crevasses
  • les Gipières
  • les Hermas
  • les Josses
  • Martinelle
  • Rechercha
  • Saint-Maurice
  • Terras

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales D 471 et D 549[1].

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[16] :

  • 1178 : de Canta Merlis (cartulaire des Templiers, 39).
  • 1272 : castrum de Canta Merulis (cartulaire des Templiers, 39).
  • 1370 : de Chantamerulum (ann. d'Aiguebelle, I, 520).
  • 1391 : castrum et mandamentum de Chantamerla (choix de documents, 218).
  • 1442 : castrum Chantamerle (choix de documents, 282).
  • 1540 : Canta Merulum (du Rivail, De Allobrogibus, 116).
  • 1891 : Chantemerle, commune du canton de Grignan.

1955 : Chantemerle-lès-Grignan[17].

Étymologie[modifier | modifier le code]

Chantemerle : la pierre qui sonne [18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Des silex taillés, retrouvés sur le plateau de Rouvergue, laissent à penser que le site était déjà habité au néolithique[réf. nécessaire].

Occupation préhistorique[19].

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

La seigneurie[16] :

  • Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) est du fief des Adhémar de Grignan.
  • 1272 : elle appartient à deux familles :
    • Les Montdragon, puis, en 1541, elle passe (par mariage) aux (d')Albert.
    • 1382 et 1410 : Les (des) Armands.
  • Possédée tout entière par les Adhémar qui l'incorporent à leur baronnie de Grignan (au XVe siècle).
  • Milieu XVIIIe siècle : distraite un moment au profit des Romieu.
  • Recouvrée par la baronnie de Grignan jusqu'à la Révolution.

1698 (démographie) : 31 habitants[16].

Au XVIIIe siècle, un tremblement de terre se fait ressentir dans la région et dans le village. Il entraîne un bouleversement des falaises environnantes, créant ainsi les failles du « site des Crevasses »[20].

Avant 1790, Chantemerle était une paroisse du diocèse de Saint-Paul-Trois-Châteaux et de l'intendance et du parlement d'Aix, répondant en second ressort, pour la justice, au bailliage de Grignan. Son église, dédiée à saint Maurice, était celle d'un prieuré séculier, dépendant anciennement de celui de Saint-Amand de Montségur, ordre de Cluny, et dont le titulaire avait droit à la dîme. Le sacristain remplissant les fonctions curiales[16].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

En 1790, Chantemerle devint une municipalité du canton de Suze-la-Rousse, mais la réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en a fait une commune du canton de Grignan[16].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie de Chantemerle-lès-Grignan.

Tendance politique et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 Pierre Brenier   Président du conseil d'arrondissement, conseiller d'arrondissement du Canton de Tain-l'Hermitage
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 ?    
1983 1989 ?    
1989 1995 ?    
1995 1997 (mars) ?    
1997 (mars)
(élection ?)
2001 Bernard Barbier DVD  
2001 2004 (sept.) (décès) Bernard Barbier   maire sortant
2004 (sept.)
(élection ?)
2005 (sept.) Jacques Ortiz[21]   retraité
2005 (sept.) 2008 Jacques Ortiz DVD maire sortant
2008 2014 Jacques Ortiz   maire sortant
2014 2020 Jacques Ortiz   maire sortant
2020 2021 (oct.) Fabienne Carmon[22][source insuffisante]    
2021 (oct.) En cours
(au 17 avril 2022)
Jean-Luc Bodin[23]    

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

En 2021, la commune comptait 241 habitants[Note 3], en diminution de 11,07 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
319258303376457478458451531
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
517456458444410403389405407
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
404406350230229197183175146
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
13011594114180177214225251
2018 2021 - - - - - - -
242241-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Chantemerle-lès-Grignan dépend de l'académie de Grenoble, mais n'a aucune école en activité[28]. Les écoliers se rendent à l'école de Grignan. Une navette scolaire, par bus, est organisée par la municipalité[29].

Santé[modifier | modifier le code]

Aucun professionnel de la santé n'est installé à Chantemerle. Le médecin le plus proche exerce dans le village voisin de Montségur-sur-Lauzon.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête : 22 septembre[19].

Loisirs[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Église de Chantemerle-lès-Grignan.

La paroisse catholique de Chamaret dépend du diocèse de Valence, doyenné de Taulignan[30].

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : vergers, vignes (vin AOC Coteaux du Tricastin), truffes, lavande, ovins, volailles[19].

Chantemerle-lès-Grignan est un terroir de production des grignan-les-adhémar (anciennement Coteaux du Tricastins AOC). Trois viticulteurs sont installés dans la commune[31].

Commerce[modifier | modifier le code]

  • Restaurant La Source[32].

Industrie et artisanat[modifier | modifier le code]

Trois sociétés et artisans du secteur bâtiment sont installés dans la commune[33].

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Vieux village pittoresque perché[19].

Plusieurs types d'hébergement sont proposés aux touristes :

  • Six chambres d'hôte[34].
  • Cinq gîtes[35].
  • Un hôtel-restaurant[36].

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Restes de remparts[19].
Restes de l'enceinte du village médiéval et les ruines du château restaurées au XXe siècle[réf. nécessaire].
  • Chapelle ruinée Saint-Maurice : vestiges pré-roman[19]. Située dans le cimetière, elle date de 910 : chœur, piliers carrés)[réf. nécessaire].
  • Chapelle « Notre-Dame-des-Grâces », datant du XIVe siècle et du XVIIIe siècle[19].
  • Église du XIXe siècle[19].
Église Saint-Maurice du XVIIIe siècle[réf. nécessaire].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'un théâtre de plein air[1].

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

  • Les « crevasses » (tranchées naturelles) sur le plateau[19].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Chantemerle-lès-Grignan possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d https://www.geoportail.gouv.fr/
  2. Ravin de Saint-Maurice sur le site du SANDRE.
  3. ravin de Crespias sur le site du SANDRE.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Chantemerle-lès-Grignan et Pierrelatte », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Pierrelatte », sur la commune de Pierrelatte - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Pierrelatte », sur la commune de Pierrelatte - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b c d et e J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 67 (Chantemerle).
  17. Décret du 15 mars 1955 portant changement de nom de la commune de Chantemerle (Drôme), JORF no 67 du 18 mars 1955, p. 2770, sur Légifrance.
  18. Alain Nouvel, « Des pierres qui chantent », Actes des colloques de la Société française d'onomastique, vol. 1, no 1,‎ , p. 160–165 (lire en ligne, consulté le )
  19. a b c d e f g h i j et k Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Chantemerle-lès-Grignan.
  20. Histoire de la commune.
  21. https://www.ledauphine.com/edition-drome-ardeche-sud/2019/12/16/municipales-jacques-ortiz-brigue-un-nouveau-mandat.
  22. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  23. https://www.ledauphine.com/politique/2021/10/24/jean-luc-bodin-est-le-nouveau-maire.
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. école à Chantemerle-lès-Grignan.
  29. Navette école de Grignan.
  30. Paroisse de Chamaret.
  31. Viticulteurs à Chatemerle lès Grignan.
  32. « Restaurant La Source à Chantemerle-lès-Grignan », sur Site officiel de l'Office de Tourisme… (consulté le ).
  33. artisans à Chantemerle.
  34. chambres d'hôtes sur la commune.
  35. Gîtes sur la commune.
  36. hôtel restaurant à chantemerle.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, 2004, 192 pages.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]